La présence du principe de réciprocité dans le soin semble être ignorée du soignant. Pourtant dans son attitude les composantes « donner recevoir rendre » existent et permettent l’installation d’un lien. L’éclatement du lien se produit lorsque la mort est pensée. Centré sur l’action, le soignant ne perçoit plus le contre don. Alors la mort cristallise ses peurs. La reconnaissance du deuil du soignant apparaît comme une possibilité de diminuer sa souffrance autour de la mort et d’accéder à la consolation pour tous.
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